Il y a un devenir, qui demeure en chaque chose et pas une ligne de notre prose dans leurs livres. Une rupture qu'on désire, une question qu'on repose selon nos mots, en toute chose nous délivre. Nos histoires singulières, sont encore à écrire. Repartir de soi, pour mieux s'abandonner, une façon de se répéter « ne crois pas avoir de droits ». Plus de norme, plus de loi, pas de justice à retrouver ; un chemin à dessiner, une éthique de la joie. « Mais qu'est-ce que ça veut dire, ces distances indivisibles qui se modifient sans cesse » ? Il n'y a pas de monde à sauver, mais des mondes à construire, des fragments à trouver.