Il y a ce que nous ont appris les faussaires, dans la résonance, dans l'écho, dans la surenchère. « Tant va la croyance à la vie, à ce que la vie a de plus précaire, la vie réelle s'entend, qu'à la fin cette croyance se perd ». Apprendre à dessiner les flammes qui ornent les lignes de crêtes, sur lesquelles dansent évidemment ceux pour qui la vie est une fête. Séchées les larmes, hauts les cœurs, de ceux qui habitent en poètes ! Plus le temps passe et plus on ressemble à la génération de nos darons, l'envie d'en finir en plus, des techniques pour faire sécession. Il y a les lignes que nous traçons, les lignes de crête sur lesquelles nous dansons, ce regard oblique forcément, qui dessine la ligne d'horizon. « La taule c'est la pression, nourri l'instinct de révolution... », nous devons construire l'ailleurs, tout ici est une prison. Une mathématique nouvelle, de négation de négation, mais plus d'offense, plus d'excuse, plus de pardon. « Bâtir. Habiter. Penser. », voilà l'esquisse d'une vérité, une ligne fabuleuse à dessiner puisque l'époque demande des vérités.
cool yet beautiful riffs in Post-Hardcore as always, but what remains in my mind is when the vocals sounded like Indonesian instead Spanish, lol:v
Thank you so much! use2alone